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Synopsis pour le royaume d'Asgard

En route pour Stavanger Jicsald est un futur marin sacré de Njörd. Pour obtenir son armure sacrée, son dieu lui envoie la vision d’une épreuve : il doit retrouver le drakkar perdu de Fölorg (un ancien serviteur de Njörd qui a disparu en mer il y a des siècles). Selon sa vision, l’épave a été brossée par la mer vers les côtes norvégiennes, près de la ville de Stavanger. Jicsald demande aux PJs de l’accompagner pour un périple en mer en tant qu’équipage pour sa quête. Il va diriger son drakkar vers son objectif : la ville de Stavanger. Le meneur est libre de rajouter des péripéties en mer (monstres marins, sirènes, navire en perdition dans une tempête). Arrivé à Stavanger, il faut trouver l’épave en question. Mais, il faut le faire en étant très discret car ils sont sur un territoire tenu par les spectres d’Hadès. Nos PJ, issus du royaume d’Asgard, vont avoir bien du mal à ne pas commettre d’impaire pendant qu’ils cherchent où l’épave a bien pu échouer. Jicsald a reçu une vision montrant le drakkar à moitié détruit contre des récifs couverts d’une brume tenace. Avant tout cela, il faut tout autant camoufler le drakkar de Jicsald sinon il faudra faire le chemin du retour à pied. Stavanger est une ville qui ne survit que par la pêche. Le langage asgardien, dérivé du norois, devrait permettre de se faire comprendre de la population locale, sans pour autant rentrer dans des discussions complexes. C’est le moment pour le MJ d’apporter une touche comique dans cette histoire. Un gamin des rues pauvre peut suivre les PJ partout où ils vont. Il n’a plus rien dans la vie (sera-t-il adopté par un PJ au grand cœur ?). Deux soldats squelettes d’Hadès tyrannisent un quartier de la ville car ceux ci ne veulent toujours pas prier Hadès (une bonne correction ? Le meneur peut rajouter des spectres pour équilibrer le combat). Les habitants du quartier leur seront reconnaissants mais craindront des représailles. Ou l’inverse, un soldat squelette, trop heureux de vivre sur Terre plutôt qu’aux enfers d’Hadès, passe son temps à aider la population grâce à sa grande force et sa cosmos-énergie. Les habitants l’aiment bien. Un immeuble sur le point de s’effondrer sur lui et des habitants qu’il veut sauver sont en dessous… Les PJ l’aideront-ils ? Les PJ auront besoin d’un abri pendant leur enquête. Que choisir ? Une auberge qui peine à faire fonctionner son groupe électrogène ? Il faudra travailler pour payer la note. Ils peuvent essayer de squatter une famille de pêcheur. Leur tache sera de surveiller leur bateau de pêche (indispensable à leur survie) la nuit pour empêcher les pillards de le voler. L’enquête ne doit pas être très compliquée. Quadriller la côte amènera les PJ à trouver le drakkar perdu de Fölorg, échoué et irrécupérable. Le meneur est libre d’y placer un objet important et ancien, pour sa chronique asgardienne. Ou alors une arme sacrée de Thor qu’on croyait perdue (et si un PJ a été méritant aux yeux du dieu du tonnerre, il pourrait être promu guerrier sacré de Thor). Et, bien entendu, il faudra faire une sépulture descente aux restes de Fölorg (quelques os et un crâne). En parallèle, un chevalier noir peut vouloir mettre la main sur cette étrange épave ancienne et ramène des soldats squelettes sous ses ordres. Une confrontation finale sur un drakkar près à se craqueler de toutes parts ?
Les personnages de la série "Les Chevaliers du Zodiaque"

Shiryu du Dragon âge : 14 ans taille : 1,72m poids : 53 kg date de naissance : 4 Octobre au Japon groupe sanguin : A Voici les statistiques estimées de Shiryu lors du deuxième épisode de la série : Cosmos-énergie : 28 Vitesse de coups : 30 Puissance de coups : 31 Rapidité : 20 Parade : 30 Volonté : 80 Ruse : 65 Beauté : 65 Contrôle : 40 Appel divin : 0 langues : japonais, chinois Compétences : Légendes attaque spéciale : « La colère du dragon » Cosmos dépensé : 7 vitesse : + 20 puissance : +35 malus : -20 Armure sacrée du dragon : Résistance : 30 (bronze) Réserve de cosmos-énergie : 20 Sans pour autant être une arme, les poings du dragon accordent un bonus de +5 à la puissance des coups. Bouclier du Dragon : Résistance : 70 (bronze) Bonus de parade : +15
Nouveau talent avancé: « Aura de force »

Nouveau talent avancé: Aura de force La cosmos-énergie du personnage l’entoure et densifie l’air ambiant autour de lui. Cet effet rend difficile l’approche de toute chose (adversaire, attaque, objet…). Toute attaque cosmique portée contre le personnage subit alors un malus égal à la marge du jet en « aura de force ». Une attaque physique subit trois fois cette même marge. Ce malus s’applique à la fois à la vitesse de coups et à la puissance de coups de l’attaque portée. Ce malus est également retranché à un score en exécution d’une technique particulière offensive directe (attaque « blindée » par exemple). Il est à noter qu’une technique particulière basée sur un charme ou un son n’est que très peu affectée : un jet réussi critique au dixième permet cependant de rendre la zone qui entoure le personnage imperméable au son (qui empêche les instruments et les techniques particulières qui utilisent le son d’affecter le personnage). Les pré-requis de ce talent sont : 100% dans le talent télékinésie et 50% en volonté Dépense : un point pour utiliser ce talent dont l’effet dure pendant toute la scène.
Dépenser les points de cosmos-énergie

Bonjour je voudrais revenir sur la façon dont on peut dépenser les points de cosmos-énergie. D'abord, il est possible d'augmenter les caractéristiques physiques pendant un round: -vitesse de coups -puissance de coups -parade -rapidité il est évident qu'on ne peut pas augmenter le score en cosmos-énergie. Il est possible d'augmenter aussi: -le score en exécution d'une technique particulière -le score d'un talent En option, j'autorise également l'augmentation du score en envoutement d'un instrument sacré. Gardez à l'esprit que ce "coup de boost" ne dure qu'un seul round. Bonnes parties Cyrille
Les PNJ officiels du Japon

Kamihura Takahashi Takahashi a toujours été passionné par les mystères. Son père, Tekoma, était un ancien guerrier qui défiait les maîtres d'arme vers la fin du XXème siècle. Il enseigna ses techniques de combat à son fils tout naturellement. Il voyait en lui son héritier. Mais, Takahashi, bien que capable de déployer et d'utiliser sa cosmos-énergie, se révéla un bien mauvais disciple. Il ne s'intéressait pas aux techniques secrètes de son père ; ce qui fut une grande déception pour celui-ci. Mais, tout ne fut pas perdu. Takahashi développa sa propre technique particulière : une technique qui force son adversaire à lui dire la vérité. Seule la vérité compte selon lui. Cela ne veut pas dire qu'il ne ment jamais. Mais, il veut connaître la vérité et résoudre des énigmes. Il est d'ailleurs doué pour cela. Takahashi eut quelques emplois qui lui permirent de réunir de petites économies dans le but de réaliser son rêve : devenir détective privé. Il quitta l'école très tôt et fit tout pour réunir la somme dont il avait besoin. Il prit la route pour Yokohama, la deuxième plus grande ville du Japon. Il y ouvrit son bureau de détective privé, sans vraiment se soucier des autorisations (la mairie à d'autres problèmes plus urgents que de régulariser ce genre de problèmes). Depuis, il se présente comme « Kamihura Takahashi, le détective de l'occulte ». Ce jeune homme reste un peu naïf et a le chic pour se plonger spontanément dans les enquêtes les plus farfelues ou dangereuses. Mais, il aime percer les mystères qu'il rencontre. Il se promène en imperméable et chapeau, comme dans les vieux films de détective privé américains. Il photographie tous les indices qu'il trouve avec un vieil appareil photo (non, il n'est pas encore passé au numérique). Cosmos-énergie : 35 Vitesse de coups : 30 Puissance de coups : 20 Rapidité : 30 Parade : 25 Volonté : 65 Beauté : 45 Ruse : 82 Résistance du corps : 8 compétence : enquête Technique particulière : « Un instant de lucidité » exécution : 85 % Quand il utilise cette technique, Takahashi déploie sa cosmos-énergie et deux traits de lumières viennent frapper les tempes de sa cible ; ce qui a pour effet de la paralyser pendant l'interrogatoire. Il ne peut rien faire d'autre que de questionner sa cible qui répondra en toute vérité (même si la cible se ment à elle même sur le sujet en question, elle dira la vérité, et peut-être même, réalisera qu'elle en avait une vision biaisée). Chaque marge de 20 sur le jet d'exécution permet à Takahashi de poser une question à sa cible (avec un minimum d'une question). Et ce nombre de question détermine également le nombre de round où la victime de cette technique est paralysée (si Takahashi ne peut pas l'attaquer à ce moment là, une tierce personne peut le faire). Les talents Contrôle et Transe permettent de lutter contre cette technique en comparant les marges de réussite des jets de dés.
Synopsis

La diplomatie de l'or noir Le Japon est en crise énergétique. Bien que les ressources en minerai et en électricité soient encore suffisantes, le manque de carburant fossile raffiné ralentit l'archipel, contraint de survivre en autarcie. L'histoire commence quand la Diète du Japon reçoit un signal de détresse d'une plate-forme pétrolière russe dans la mer d'Okhotsk. Depuis que le monde est est au mains des spectres d'Hadès, cette plate-forme survit grâce à la pêche, un gros purificateur d'eau et le courage d'ouvriers russes. Mais, leur combat les oppose maintenant à un ennemi trop puissant pour eux : le peuple triton. Ils ont rompu leur silence radio (vieux de plusieurs années) pour appeler à l'aide. Le gouvernement japonais envoie alors des bateaux avec des vivres qui sont escortés par des samouraïs du clan d'Izanagi pour leur venir en aide d'une part, et d'autre part, pour s'approprier une ressource aussi rare qu'un puit de pétrole en état de marche. En arrivant sur les lieux, ils se trouvent nez à nez au Takara-Bune, le sanctuaire du clan des sept kamis du bonheur. Celui-ci est arrivé le premier et compte monter la garde. Cependant, les envoyés du gouvernement et de l'Empereur auraient voulu que l'existence de cette plate-forme reste secrète. Les PJ dans tout ça ? Ils peuvent venir de n'importe quelle faction. Le Takara-Bune, le clan Izanagi, mais ils peuvent aussi être envoyés par leur clan pour espionner discrètement (Tsuki-Yomi) ou encore revendiquer le pétrole pour le peuple japonais dans son ensemble (kamis du peuple). Enfin, ils peuvent être venu de leur propre initiative par voilier après avoir été informé de ce signal de détresse (en compagnie d'une petite OGM improvisée). La situation est vite tendue car les ouvriers russes se sentent mal à l'aise face leur vieil ennemi : le Japon. Certains préféreraient même faire exploser la plate-forme s'ils se sentent condamnés. De plus, les tritons peuvent revenir attaquer à tout moment en hypnotisant certains samouraïs pour qu'ils attaquent le Takara-Bune et ainsi déclencher les hostilités entres deux clans japonais. Rajoutez à cela que n'importe qui peut avoir capté ce message de détresse alors le meneur peut rajouter les anciens ennemis récurrents des PJ, faire débarquer les spectres qui s'estimeront chez eux (le début d'une nouvelle guerre?), amener un yokaï (un oni discret qui aurait infiltré les forces gouvernementales qui accompagnent le clan Izanagi). Les possibilités sont très ouvertes pour le meneur. Ce scénario peut être développé sur plusieurs aventures : les zaibatsus se battront pour être celle qui raffinera le pétrole pour en faire du carburant (qui sera hors de prix). Les clans s'opposeront pour la répartition de l'or noir. Il faudra également organiser une défense pérenne pour la plate-forme et les pétroliers (qu'il faudra remettre en marche). Mais la renaissance du tout puissant Japon sera au prix de ces peines.
Règles optionnelles: jets de volontés et temps de récupération

Déjà en réussir un c’est pas assuré, 2 c’est champomie. Alors 5.... Mais le temps inconscient après un raté est pas mal, ça évite le 1h histoire d’avoir récupéré des points de cosmos. Moi je dis : Appel divin !
L'ultime sacrifice

Dans les chevaliers du zodiaque, il n'est pas rare de voir les héros se sacrifier pour la bonne cause. Ainsi, Shiryu, le chevalier du dragon, est prêt à donner sa vie pour vaincre Shura, le chevalier du capricorne. Bon, ce dernier le sauve au dernier moment mais c'est une autre histoire. Cependant, cet épisode nous apprend qu'il est possible de faire exploser sa cosmos-énergie et de mourir en occasionnant des énormes dégâts. Dans « Saint Seiya, l'archipel des kamis », il existe des règles techniques ainsi que des méthodes de mastering pour gérer ce genre de scènes. Premièrement, se sacrifier en faisant exploser sa cosmos-énergie n'est pas intuitif. Le personnage (PJ ou PNJ) doit savoir que cette action est possible. Il peut l'avoir observé de visu (un autre personnage l'ayant fait devant lui). Mais, il peut également « s'en rapprocher » suite à un entraînement. C'est d'ailleurs ce qui arrive à Shiryu quand il découvre « l'ultime dragon ». Personnellement, je recommande de ne pas aiguiller les entraînements dans cette direction. Cela ne doit pas être acquis de façon banale. On voit mal un senseï du clan d'Amaterasu apprendre à ses novices comment mourir au combat. Nous pouvons garder en tête l'esprit de sacrifice qui est lié à la fonction de samouraï. Mais, je maintiens que c'est une mauvaise idée de mastering... à priori. Si vous voulez, malgré tout, orienter l'entraînement vers l'apprentissage de l'ultime sacrifice, je vous recommande de le faire dans un objectif précis. Cela peut se présenter comme la création d'une section spéciale dans le clan qui est destinée à se sacrifier pour vaincre un péril trop gros pour les samouraïs conventionnels. Bref, le personnage devra l'avoir déjà vu (selon mes conseils mais vous êtes libres) pour ne pas banaliser ce sacrifice car il est plus gros que vous ne le pensez. Deuxièmement, le fait de se sacrifier devrait être « favorisé » par le meneur de jeu. On peut s'étonner que Shiryu parvient à agripper un chevalier d'or et à le maintenir le temps de son sacrifice. Quand on y pense, Shura aurait pu esquiver facilement en se déplaçant avec sa formidable vitesse. En terme de jeu, on pensera au score de « rapidité de déplacement » pour celui qui va se faire agripper et réclamer un jet pour qu'il s'en sorte. Et bien là, je dis non. Si un personnage cherche à se sacrifier de la sorte, je recommande de le laisser y arriver afin de préserver l'ambiance dramatique d'une telle scène. Une fois en position, près à mourir en emportant son adversaire, je recommande au meneur de bien lui expliquer tout ce que cela entraîne comme conséquences (voir plus loin). Il pourra toujours y renoncer ou véritablement franchir le pas. Troisièmement, l'aspect technique est légèrement différent quand un personnage fait exploser sa cosmos-énergie. Les dégâts immédiats sont égaux au score en cosmos-énergie (le score maximum et non pas le score actuel) multiplié par 10. Ainsi, un personnage avec une cosmos-énergie égale à 45 fera alors 450 points de dégâts. Je vous laisse faire le calcul sur la cible et sur son éventuelle armure sacrée. De plus, les dégâts sur les points de résistances du corps sont égaux au score de cosmos-énergie divisé par 5. Il faut noter aussi que les deux acteurs de ce sacrifice subissent ces dégâts. Bien sur, si une tierce personne se rapproche pour essayer d'intervenir, elle recevra la même sentence. Si le meneur veut faire simplement, il peut considérer que les deux belligérants sont morts. Mais, avec des dégâts pareils, même un dieu peut craindre ce genre de fou prêt à mourir pour tuer sa cible. Quatrièmement, les conséquences d'une telle entreprise sont énormes. Elles sont à appliquer pour le sacrifié et sa cible. Le corps est réduit à l'état de particules dispersées et impossible à sauver. De plus, l'âme même des deux personnes concernées est dispersée de la même manière. Sur ce deuxième point, un dieu finira par « se rassembler » et investir un corps (le sien, si celui-ci n'était pas concerné par le sacrifice. Voir l'article sur les dieux dans ce même forum). Pour un mortel, cela signifie l'impossibilité de rejoindre le monde des morts (le Yomi pour les japonais, le Valhalla pour les asgardiens...). Il faut bien réaliser que c'est alors la fin du personnage de façon irrécupérable. De plus, c'est difficile pour un mortel de réaliser qu'il disparaitra sans atteindre l'au-delà. Les croyances sont souvent bien implantées dans la culture du personnage. De plus, dans ce type d'univers, le personnage a reçu une éducation religieuse très poussée afin de servir son kami. Un tel geste à un tel prix ne doit pas être prit à la légère. D'ailleurs, le meneur peut tout à fait demander un jet en volonté à un PJ voulait se sacrifier de la sorte, voire un jet critique. Personnellement, j'ai accordé une exception à un PNJ dont l'âme a été sauvée par Zeus lui-même qui désirait recruter ce personnage. Mais, de là à faire survivre un PJ qui aurait fait ce choix, je le déconseille. Il ne faut en aucun cas banaliser l'ultime sacrifice.